Retour aux manchettes
EN Manchettes


Des réalités différentes chez les personnes homosexuelles ou bisexuelles

Pourquoi parle-t-on d'adaptation de nos intervention?
2 mai 2012 | Espace ITSS



En 1993, Michel Dorais, professeur en sciences sociales à l’Université Laval écrivait : « Bien que l’homosexualité ne soit plus considérée par la médecine comme une maladie à combattre, il reste beaucoup à faire pour développer une compréhension accrue de ses manifestations. » Les choses ont-elles vraiment changé?

La formation offerte par l’Institut national de santé publique du Québec a récemment été adaptée pour les infirmiers et infirmières en vue de les outiller à mener une consultation-santé tenant compte de la diversité des orientations sexuelles.

Les histoires de cas proposées et le travail en sous-groupe permettent de mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité, particulièrement en ce qui a trait aux ITSS, en plus de déconstruire les principaux mythes véhiculés sur l’homosexualité et la bisexualité.

Pour améliorer la qualité des services offerts, il est nécessaire d’accroître nos connaissances quant aux facteurs de vulnérabilité propres à ces clientèles tout en identifiant les habiletés d’intervention efficaces à mettre en place. Voici quelques thématiques abordées au cours des deux jours de formation :

  • La prévention du VIH chez les HARSAH
  • La notion de vulnérabilité et son évaluation chez les HARSAH
  • Les lieux de rencontres et les pratiques homosexuelles
  • Les facteurs qui nuisent à la prévention du VIH chez les HARSAH

Vous cherchez à vous outiller en ce sens? Cette formation est pour vous!

Pour vous inscrire

Linda Cléroux, Institut national de santé publique du Québec

[email protected] / 514 864-1600, poste 3250



Retour aux manchettes

Commentaire


Aucun commentaire.

Écrivez votre commentaire


Les champs identifiés par un astérisque ( * ) sont obligatoires.



Une adresse courriel valide s'écrit selon le format suivant : [email protected] .



Envoyez mon commentaire